Le héros des deux mondes dans le sillage du corsaire
Les Bavastro et les Garibaldi : deux familles de marins génois
La famille de Giuseppe Bavastro et celle de Giuseppe Garibaldi étaient toutes deux originaires de la région de Gênes.
Plus précisément, le père de Giuseppe Bavastro, Michele (1729-1787) s'était marié à San Pier d'Arena [1] le 12 février 1752 avant de venir travailler vers 1760 comme ingénieur à l'agrandissement du port de Nice et de s'y établir définitivement vers 1768 avec sa femme Maria-Hieronima Gaetana Parodi (circa 1729-1804), fille de l'armateur génois Michele Parodi [2], et ses 5 enfants (Gian-Battista (circa 1753-1785), Martino (circa 1755-1801), Giuseppe (1760-1833), Madalena (circa 1765- ?) et Giuseppina Teresa (circa 1765-1804)). Un fils, Paulo, naîtra à Nice en 1768.
Pour voir en détail la généalogie des Bavastro, vous pouvez consulter le site http://www.geneanet.org/ ou bien un récapitulatif sur le fichier ci-après à télécharger.
Le grand-père de Giuseppe Garibaldi, Angelo s'était marié le 1er septembre 1765 à Chiavari près de Gênes avec Isabella Margherita Pucci (1742-1813) née à Chiavari. Il était capitaine de navire marchand et était venu s'établir à Nice vers 1778, comme en témoigne l'acte qui lui accorde le bénéfice du port-franc le 8 juin 1778 [3] qu'a trouvé Gian-Luiggi Alzona aux archives départementales des Alpes-Maritimes [4].
Michele Bavastro et Angelo Garibaldi appartenaient aux mêmes tranches d'âge. En effet, d'après les actes paroissiaux les concernant, Michele Bavastro était né le 20 novembre 1729 à San Pier d'Arena (et non à Nice comme on peut le lire souvent) et Angelo Garibaldi serait né vers 1741. Ils avaient donc entre 37 et 49 ans quand ils habitaient à Nice sur le port en 1778. L'acte de baptême de Giuseppe Bavastro est consultable sur le site http://www.sanpierdarena.net/Bavastro%20capitan.htm.
Bien que Michele Bavastro ne semble pas avoir été marin, on trouve un Angelo Bavastro parmi les armateurs de Gênes du «Veloce» en 1809 [5]. Par ailleurs, sa femme Maria-Hieronima Parodi appartenait à une famille de marins, en témoigne par exemple son frère Gian-Battista Parodi qui était capitaine d'un bâtiment sur lequel Giuseppe Bavastro aurait commencé à naviguer [6] , Domenico Parodi, armateur du corsaire «le chasseur» de Gênes en 1811 [7] et Pietro Parodi, capitaine du «Dauphin» [8] en 1811.
Dans ses mémoires - écrites par Alexandre Dumas - Giuseppe Garibaldi raconte au chapitre II qu'il avait fugué dans sa jeunesse avec des copains pour se rendre à Gênes en bateau et que son père demanda à un corsaire de le ramener à Nice. Il ne donne pas le nom du corsaire mais il est fort probable qu'il s'agissait d'un Parodi de la famille de Bavastro, d'autant qu'un de ses compagnons de fugue s'appelait César Parodi [9].
Les Bavastro et les Garibaldi, voisins et amis
En 1822 d'après le recensement, Bernardo Bavastro (1779-1841) habitait avec sa femme Maria Chichisola (circa 1762-1849) dans la maison dont il était propriétaire (casa Bavastro) sur le port de Nice ; Il est précisé qu'il vivait de ses rentes [10]. Il s'agissait d'un cousin germain de Giuseppe, fils de Domenico Bavastro (circa 1721-1786) - le frère de Michele - et marin puisque son nom a été relevé comme lieutenant de l'équipage «l'intrépide» [11], fameux chébec de Bavastro.
Angelo Bavastro (1783-1847), frère de Bernardo et autre cousin de Giuseppe, était coiffeur. Avec sa femme Felicita Salvatori (1796-circa 1838) et leur fils Francisco (1822- ?) ils habitaient dans la même maison que les Garibaldi sur le port de Nice (casa Abudarham) [12].
De plus, Rosa Garibaldi (1770-1825), tante de Giuseppe et femme de Felice Gustavin a été marraine de Rosa Bavastro (1800-1862), fille de Bernardo Bavastro et de Maria Chichisola. C'est pourquoi on lui a donné le même prénom, Rosa, que sa marraine. Le choix du parrain et de la marraine de Rosa Bavastro le 23 septembre 1800 signifie que les familles Bavastro et Garibaldi se connaissaient bien et ceci avant 1800. Par ailleurs, les parents de Rosa Bavastro, Bernardo et Maria Chichisola n'étaient pas mariés au moment de la naissance de leurs enfants Rosa et Gio-Giuseppe (1801-?), ce qui était un fait assez rare à cette époque. Ceci peut laisser entendre qu'ils n'étaient pas forcément très chrétiens…Ils se sont bizarrement néanmoins résolus à se marier le 25 octobre 1817 juste après le mariage de leur fille avec Antonio Dayderi le 15 février 1817.
Antonio Daidery - ou Dayderi, Deyderi, Deiderj (1774-circa 1840), le mari de Rosa Bavastro avait une entreprise de cordage sur le port comme son père Gian-Battista. Ses trois filles se sont mariées à des marins et c'est son fils Giuseppe né d'un premier mariage avec Rosa Balestre qui fut ami très proche de Giuseppe Garibaldi tout au long de sa vie. C'est aux époux Dayderi qu'il confia la garde de sa fille quand il s'est retrouvé veuf pendant qu'il combattait et c'est Giuseppe Dayderi qui fut chargé de rapatrier les restes d'Anita à Nice. Il avait 1 an de plus que Giuseppe Garibaldi. Il s'était distingué dans la milice niçoise de la garde nationale à laquelle il appartenait dès janvier 1851 voire avant, et dont il avait été nommé Colonel en 1858. Il démissionna de ce poste le 2 janvier 1860 et s'exila à Gênes en juin 1860 après l'annexion.
Bavastro, Garibaldi, Donny, Leclerc et Masséna pendant la révolution française
Giuseppe Bavastro semble avoir déserté quelque peu Nice au moment de la révolution française puisque son nom s'est retrouvé sur la liste des émigrés et a finalement été rayé le 20 fructidor an II sur intervention du Consul de la République de Gênes [13]. Néanmoins Jean-Baptiste Toselli indique dans sa biographie niçoise ancienne et moderne qu'il s'est livré en 1793 en liaison avec Laflèche de Marseille au passage à Gênes de certaines personnes désireuses d'émigrer. Par ailleurs, les archives départementales ont conservé la trace de poursuites à son encontre pour faillite par ses créanciers en 1789 [14].
Son association avec le commerçant Jean-Jacques Donny (circa 1756-circa 1820) qui était l'armateur du chébec (ou chabec, ou chebeck en français, sciabecco en italien) «l'intrépide» dont Bavastro a été le capitaine semble dater de 1803 [15] [16].
Sa sœur Josefa Teresa Bavastro (1765-1804) était mariée au capitaine Ludovico Boet (circa 1865- ?) dont le bâtiment corsaire «Alpes-Maritimes» appartenait à Joseph Pollan (circa 1748-1799), le beau-père de Donny, originaire de Clavesana (Piémont). Le nom attribué à ce bateau est très significatif des idées révolutionnaires françaises puisque c'était le nom nommé au nouveau département français [17].
La navigation en Méditerranée était véritablement une affaire de famille.
Bavastro était l'ami d'enfance d'André Masséna (1758-1817). Ils n'avaient que deux ans d'écart. Le père de Bavastro et le grand-père maternel de Masséna travaillaient tous les deux comme ingénieurs à l'aménagement du Port, c'est donc tout naturellement qu'ils ont dû sympathiser. Jean-Baptiste Toselli indique que Bavastro aurait proposé à Masséna avant le début de la révolution de «s'associer pour équiper un petit bâtiment et courir la mer» [18] et celui-ci refusa. Leur amitié était telle que Bavastro avait baptisé deux de ses navires «Masséna». Pendant la révolution, Masséna s'est «distingué» dès septembre 1792 dans l'armée française du Général Danselme au moment de l'invasion du Comté de Nice. En 1792, l'enthousiasme pour les idées révolutionnaires pouvait expliquer son ardeur ; comme beaucoup il a déchanté par la suite en particulier quand il s'est retrouvé en prison…
Jean-Jacques Donny a par ailleurs eu un rôle important à Nice au moment de la révolution française. Né à Neuchâtel en Suisse vers 1756 il s'est manifesté en particulier en intercédant en faveur de l'évêque Valperga lorsque le Général Danselme le contraignit à s'exiler à Turin [19], ce qui est d'autant plus remarquable qu'il était protestant et aussi franc-maçon [20]. Compte tenu de sa richesse et de ses relations, il avait même obtenu l'autorisation de se marier avec une dispense à la cathédrale Sainte-Réparate le 30 décembre 1795 - qui plus est - avec une orthodoxe, Gaëtane Ursule Polan (1774-1832).
Jean-Jacques Donny devait avoir des qualités certaines et des relations solides pour avoir fait partie de l'administration révolutionnaire dès 1792 et en 1794 [21] et s'y retrouver à nouveau en 1800 [22].
Son associé, Jean-François Le Clerc (circa 1730-1792), né en Suisse également, était à la tête d'une grande maison de commerce et d'une banque. Il avait fait partie de la première administration de la Ville en octobre 1792 mise en place par Paul Barras nommé par le Général Danselme [23]. Il résidait à Nice dès 1764 et avait en particulier obtenu le titre de baron en 1774 en raison de son activité commerciale dans le port-franc [24].
Le Clerc a forcément connu les Bavastro et les Garibaldi puisqu'ils avaient tous des intérêts communs dans le commerce du port où ils résidaient tous.
Le Clerc et Donny ont participé activement à l'administration de la ville pendant la révolution française. La question de l'approvisionnement n'a certainement pas été étrangère à la présence de Donny en 1794 à l'Agence du port de Nice, étant donné qu'il dirigeait l'un des 3 magasins de Nice, Le Clerc et Cie.
Masséna, Bavastro et Donny ont tous les trois joué un rôle important dans la vie politique pendant la période révolutionnaire.
Quant aux Garibaldi – Angelo le grand-père de Giuseppe et Domenico, le père de Giuseppe - leurs noms n'ont semble-t-il jamais été cités dans l'histoire locale à cette période. Il faut dire que leur arrivée à Nice ne datait que d'une décennie, mais il est à noter que les évènements violents de la révolution ne les ont pas poussés à fuir. Ils ont dû s'accommoder de la situation. La possession d'un navire leur a probablement permis de continuer à commercer, sachant que la question de l'approvisionnement était d'autant plus cruciale que les marchandises manquaient et que la dépréciation de la monnaie ne facilitait pas les échanges.
Giuseppe Bavastro et Giuseppe Garibaldi, des destins comparables
Giuseppe Bavastro (1760-1833), corsaire de Napoléon, a eu un destin remarquable. Plusieurs ouvrages lui ont été consacrés, tous plus ou moins romancés, d'autant qu'il n'a rien écrit lui-même. Parmi les récits, il faut citer celui de Jean-Baptiste Toselli (page 71 à 108) «Biographie niçoise ancienne et moderne» de 1860 (consultable en ligne sur le site des Archives départementales du Conseil Général des Alpes-Maritimes) [25].
Bavastro devait exercer une certaine fascination à Nice pour ses actes de bravoure, ses exploits de marin et pour sa richesse considérable accumulée à l'occasion de ses prises.
Giuseppe Garibaldi (1807-1882) n'a pas pu rester indifférent à la réputation de ce marin dont il partageait un peu la parenté. En 1833, à la mort de Giuseppe Bavastro il avait 26 ans. Il est difficile de croire qu'ils ne s'étaient pas rencontrés. Il semble d'ailleurs assez étrange que Garibaldi n'ait jamais évoqué le souvenir de Bavastro, d'autant que comme lui, il avait eu un goût pour la navigation assez tôt et qu'il partageait visiblement les mêmes valeurs que lui. Un de ses compagnons d'enfance était César Parodi de la famille de Bavastro. Garibaldi n'évoque pas ce lien de parenté alors qu'il en avait forcément connaissance. Probablement qu'il ne voulait pas être assimilé à un corsaire et révéler ses relations proches avec les Bavastro.

Il faut rappeler que Garibaldi avait obtenu des lettres de marque pour faire la course contre le Brésil pour le compte de la République du Rio Grande dans les années 1837 à 1841 et pour la république de l'Uruguay de 1841 à 1848. Cette image de corsaire était quelque peu incompatible avec celle du révolutionnaire désintéressé, et c'est pourquoi il ne devait pas en être très fier. D'ailleurs, il se justifie en écrivant par le biais d'Alexandre Dumas «pendant tout le temps que je fis le métier de corsaire, mes hommes eurent l'ordre de respecter la vie, l'honneur et la fortune des passagers» [26]. Il fut en quelque sorte selon lui un corsaire version Robin des Bois.
Par ailleurs, le tout premier paragraphe de ses mémoires évoque le souvenir de Masséna en indiquant qu'il serait né dans la chambre où naquit «l'illustre Maréchal» Masséna. La façon dont il parle de Masséna ne laisse aucun doute sur l'admiration qu'il avait pour lui. Le fait d'être né dans la même chambre que lui semble signifier qu'il était prédestiné à un avenir glorieux mais aussi à poursuivre les mêmes idéaux.
Quand on sait que Giuseppe Bavastro est parti en 1818 en Amérique latine pour s'exiler et apporter son aide à Simon Bolivar dans son combat pour la libération des peuples, on ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec Giuseppe Garibaldi qui partit en 1835 aussi en Amérique latine dans des circonstances semblables.
Son installation dans une ferme de la Nouvelle-Orléans en 1821 fait penser aussi à l'exil de Garibaldi sur l'île de Caprera en 1860.
Par ailleurs, l'appartenance de Giuseppe Garibaldi à une loge maçonnique est très connue mais Giuseppe Bavastro aussi en a fait partie et probablement assez tôt, en témoigne par exemple son amitié avec André Masséna, initié à la franc-maçonnerie dès 1784 à Toulon à l'âge de 26 ans, et ses relations commerciales avec Jean-Jacques Donny qui a été franc-maçon notoire et aussi l'armateur de «l'Intrépide» dont Bavastro était le capitaine [27].
Il est à penser que les valeurs maçonniques pouvaient déjà être présentes dans les familles Bavastro et Garibaldi et ont pu même être la raison de leur exil à Nice. En effet, les francs-maçons ont été considérés comme indésirables en Italie à partir de la bulle de Benoît XIV de 1751 «providas romanorum» qui confirme celle de son prédécesseur Clément XII de 1738 sur le même sujet. En effet, hormis l'excommunication, le bras séculier pouvait être sollicité, donc le risque était grand pour les personnes mais aussi pour les biens qui pouvaient être confisqués.
Or Nice à la même époque s'efforçait d'attirer les riches négociants en leur offrant les avantages du port-franc et le droit d'asile. Par la suite, au moment de la révolution française, la participation des francs-maçons a été très active et Nice n'a pas échappé à ce phénomène.
L'intégration des deux familles à Nice qui sont rapidement devenues riches et ont prospéré pendant et après la révolution française, pourrait s'expliquer en partie par l'appartenance à une loge maçonnique qui militait pour les idées républicaines et l'unification de l'Italie, ce que Giuseppe Garibaldi a parfaitement incarné. Les loges maçonniques étaient florissantes dans la 2è moitié du XIXè siècle, et à Nice en particulier celle des «vrais amis réunis». Il est probable que les Bavastro et les Garibaldi ont appartenu à cette loge ou bien à celle de Marseille «Saint-Jean d'Ecosse» qui rassemblait beaucoup de négociants et de capitaines de navire.[28] .
Les archives de Gênes mériteraient d'être explorées pour mieux connaître les relations qui existaient avec Nice au XVIIIè siècle.
2) Les sculptures en bas-relief dorés ornant la voûte de la chapelle Sainte Rita dans l'Eglise de l'Annonciation à Nice représentent des instruments de la passion ou des symboles reliés à la passion:
- sculpture de gauche: croix, lance, bâton portant l'éponge trempée dans le vinaigre, etc.
- sculpture du centre: voile de Véronique avec le visage du Christ
- sculpture de droite: insigne des romain "SPQR" (Senatus Populusque Romani), lanterne, échelle, fouet, etc.
Ce qui est remarquable dans cet enchevêtrement de symboles, c'est que d'une part les symboles habituels de la passion tels que la couronne d'épines et les clous, ne sont pas représentés et que d'autre part l'agencement de certains symboles sont typiquement maçonniques, comme l'échelle à 7 marches avec la lanterne au sommet et les lacs d'amour formés par la cordelière.
Documents protégés par copyright
- Port Lympia et château du Mont-Alban 01/01/1787 daté du 01/01/1787, conservé aux Archives départementales des Alpes-Maritimes. Positif, couleurs au format 6x7. Provenance : Bibliothèque municipale de Nice. Document faisant partie de l'exposition intitulée : "Les Alpes-Maritimes au temps des premiers préfets" Extrait de l'ouvrage intitulé : "Voyage historique et pittoresque du comté de Nice" d'Albanis Beaumont, édité à Genève en 1787 © Droits réservés des archives départementales de Alpes-Maritimes COTE : 03FI 11495 http://www.cg06.fr (découvrir les am/découverte du patrimoine/les archives départementales/outils de recherche/iconographie)
- Plan du port Lympia appartenant à la bibliothèque de Cessole, vue d'ambiance du bassin, daté approximativement XVIIIè siècle, Positif, couleurs au format 6X7. Provenance : Reproduction réalisée par Roger Thiéry , Archives Départementales de Nice. Cote : 05PH 00321 http://www.cg06.fr/fr/ (découvrir les am/découverte du patrimoine/les archives départementales/outils de recherche/iconographie) : A noter des dessins de bateaux dont plusieurs chebeks
Références
[1] Sampierdarena a été annexée à Gênes en 1926
[2] La Marina ligure di Napoleone 1797-1814, Virgilio Ilari, Piero Crociani, 2011, page 84, http://www.archive.org/details/NapoleonsLigurianNavy1797-1814
[3] Archives Départementales des Alpes maritimes, cote 03B 0084.8.6.1778 : ports-francs
[4] Garibaldi, orizzonti mediterranei, Gian-Luigi Alzona et al., Paolo Sorba Editore, 2009, page 31
[5] La Marina ligure di Napoleone 1797-1814, Virgilio Ilari, Piero Crociani, 2011, page 98
[6] Op.cit., page 88
[7] Revue africaine, journal des travaux de la société historique algérienne, 1872(11), page 442
[8] La Marina ligure di Napoleone 1797-1814, Virgilio Ilari, Piero Crociani, 2011, page 98
[9] Mémoires de Garibaldi, Alexandre Dumas, imprimerie J L Borgeaud, 1860, chapitre II « mes premières années », page 5
[10] Recensement 1822 lot 1, page 725 sur 800 http://www.cg06.fr/fr/decouvrir-les-am/decouverte-du-patrimoine/les-archives-departementales/outils-recherche/outils-de-recherche-et-archives-numerisees/
[11] La Marina ligure di Napoleone 1797-1814, Virgilio Ilari, Piero Crociani, 2011, page 102
[12] Recensement 1822 lot 1, page 735 sur 800
[13] Archives départementales des Alpes-maritimes, Document L 0034 (An II), 181 feuillets
[14] Archives départementales des Alpes-maritimes, Document 01B 0160 (Sénat de Nice du 11/01/1788 au 7/3/1791)
[15] Biographie niçoise ancienne et moderne ou Dictionnaire historique, Jean-Baptiste Toselli, tome 1, page 80
[16] La franc-maçonnerie dans le département des Alpes-Maritimes sous le consulat et l'Empire, Yves Hivert-Messeca, 1989, octobre-décembre - A télécharger sur le site des Archives départementales des Alpes-maritimes, http://www.cg06.fr/ (Bibliothèque)
[17] Le quartier maritime de Nice en 1800, Jules Cablat, Nice Historique 1900(9):164-167 (voir en particulier page 164)
[18] Biographie niçoise ancienne et moderne ou Dictionnaire historique, Jean-Baptiste Toselli, N°2, 1860, page 51
[19] La triste destinée de Mgr Valperga di Maglione, évêque de Nice, Mons. Denis Ghiraldi, Recherches régionales 2003 (166), A télécharger sur le site des Archives départementales des Alpes-maritimes, http://www.cg06.fr/ (Bibliothèque)
[20] La franc-maçonnerie dans le département des Alpes-Maritimes sous le Consulat et l'Empire, Yves Hivert-Messeca, Recherches régionales, 1989(109) – A télécharger sur le site des Archives départementales des Alpes-maritimes, http://www.cg06.fr/ (Bibliothèque)
[21] L'activité économique de Nice pendant les années 1794-1795, Antoine Demougeot, Nice Historique 1969(2)33-52 (voie en particulier page 34)
[22] La mairie de Nice de 1800 à 1803, Paulian et Torrini, Marc Bouloiseau, Nice Historique 1986(38) : 3-14 (voir en particulier page 11)
[23] Réorganisation des autorités civiles de Nice en octobre 1792, A-J Rance-Bourrey, Nice Historique 1911(4):57-68 (voir en particulier page 66)
[24] Archives anciennes et révolutionnaires, Sénat de Nice, document 01B 0179 - 09/02/1773 - 19/12/1777 (archives départementales des Alpes-Maritimes)
[25] Biographie niçoise ancienne et moderne ou dictionnaire historique [...],Toselli (Jean-Baptiste), Nice, 1860, 2t. réunis, 384 p. : portraits h-t., 357p. http://www.cg06.fr/cms/cg06/upload/decouvrir-les-am/fr/files/rr109-1989-03.pdf (bibliothèque numérique/Armoriaux et biographies)
[26] Mémoires de Joseph Garibaldi, publiés par Alexandre Dumas, 1860 Borgeaud éditeur, chapitre VII et VIII
[27] La franc-maçonnerie dans le département des Alpes-Maritimes sous le consulat et l'Empire, Yves Hivert-Messeca, 1989, octobre-décembre - A télécharger sur le site des Archives départementales des Alpes-maritimes, http://www.cg06.fr/ (Bibliothèque)
[28] Pierre-Yves Beaurepaire a consacré un article très documenté sur cette loge : Saint-Jean d'Ecosse de Marseille, une puissance maçonnique méditerranéenne aux ambitions européennes – Pierre-Yves Beaurepaire, Cahiers de la méditerranée, 2006 http://cdlm.revues.org/